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Photo du rédacteurThe Liberty web

Le nouveau Coronavirus était bien une arme biologique chinoise

Le gouvernement australien en a remis

officiellement les preuves

Elmer Yuen est le PDG de la société Golden Bridge Technology. Né à Shanghai en 1949, il a immigré à Hong Kong en 1957. Il soutient les mouvements démocratiques de Hong Kong et entretient des liens étroits avec le gouvernement américain.



Un entrepreneur de Hong Kong, résidant désormais à Washington,

a fait part d’une nouvelle étonnante.

«Vous nous avez toujours mis en garde face aux dangers que représente la Chine. »

Yuen : La Chine n'est pas une nation. C’est en réalité une terre créée par de petits groupes de révolutionnaires communistes qui la contrôlent à la manière d’une mafia forte de 90 millions de membres issus de gangs communistes. C’est un peu comme si le Japon était contrôlé par de puissants groupes de Yakuza. Le Parti communiste chinois « PCC » parle d'une nation régie par la loi, mais ce n'est là qu'une façade. Qu’un simple emballage destiné à contrôler le peuple.

Si la Chine dominait le monde et remplaçait les États-Unis en tant que leader mondial, alors nous entrerions dans une période culturelle bien différente, portée par l'athéisme.

Le PCC ne comprend pas l’état de droit; pas plus que la liberté et la démocratie. Il ne voit dans le pouvoir que le moyen de devenir riche et de mener une vie agréable. La situation de Hong Kong démontre actuellement ce qui se passerait s'il exerçait un leadership mondial à la place des États-Unis.


Ils n’ont rien à faire de la mort de 10 millions de personnes

Yuen : Malgré la perte imputable au coronavirus de plus de 700,000 personnes originaires de Wuhan, le PCC continue de fournir son soutien financier aux laboratoires chinois P3 et P4, en vue d’y développer toutes sortes de souches de virus. C’est l’une des armes les plus puissantes, car sa fabrication est très bon marché. Dans un rapport publié par le département d'État américain il y a quelques mois, il a été révélé par ailleurs que la Chine procédait dans son pays à des essais nucléaires de faible intensité.

Ne sous-estimez pas la Chine. Elle est prête à faire ce que notre loi et nos normes morales ne nous permettraient pas. De plus, cela ne dérangerait pas ses dirigeants de perdre 10 millions de citoyens de son propre peuple. Ces derniers ne sont considérés que comme des robots voués à gagner de l'argent et s’ils meurent, il suffit de relever le taux de natalité, tout simplement.

Le PCC contrôle les entreprises américaines et les principaux médias américains, augmentant peu à peu son influence dans le monde. Hollywood et la NBA ne peuvent pas davantage s’exprimer à l’encontre du PCC de peur de perdre un marché géant de 1,4 milliard d’individus. Il en va de même pour le Japon. Le NHK et les autres grands journaux sont très amènes envers la Chine.

Cependant, la pandémie causée par le nouveau coronavirus a permis au monde de commencer à prendre conscience des dangers qu’entrainait le PCC.

L'Australie intercepte des informations du PCC

« Nous avons entendu dire que vous saviez pourquoi le gouvernement australien s'est détourné de la Chine avec autant de rigueur ».

Yuen : Ce qui s'est passé, c'est que l'Australie a réuni des preuves solides que le coronavirus était d'origine humaine, et provenait bien du laboratoire de Wuhan.

Cette information est liée à l'expulsion de Sun Lijun, vice-ministre de la « Sécurité publique », nom donné à la police chinoise. M. Sun avait été envoyé à Wuhan en février dernier, où il avait aidé à dissimuler l'origine du virus avec le PCC.

Chaque responsable politique détient en Chine toute une pile de secrets sur les plus hauts dirigeants, afin de pouvoir se protéger en cas d'arrestation. M. Sun avait toutes ces preuves et les a fait suivre à sa femme en Australie, mais ce transfert a été décelé par les services de renseignement australiens.

Cette information avait déjà été partagée avec le « prisme » cette organisation de renseignement et de surveillance également appelé « cinq yeux », qui est composée de cinq pays : les États-Unis, le Royaume-Uni, l'Australie, le Canada et la Nouvelle-Zélande. De plus, dès le mois de juillet, des représentants du ministre australien des Affaires étrangères et du ministre de la Défense sont venus aux États-Unis pour y rencontrer en personne le secrétaire d'État américain Mike Pompeo et le secrétaire à la Défense Mark Esper, à qui ils ont remis ces preuves pour le gouvernement américain.

Le Japon devrait probablement recevoir cette information bientôt si ce n’est déjà fait. Je pense qu'à la vue de ces preuves solides, le Japon changera complètement sa politique à l’égard de ses anti-Chine et les pro-chinois, tels que Toshihiro Nikai, l’actuel secrétaire général du Parti libéral démocrate, seront écartés du Conseil des ministres.

Le président Trump poursuit son plan d’isolation de la Chine

« La Chine tente de faire survivre son économie en faillite en détournant les dollars américains de Hong Kong ».

Yuen : L'administration Trump l’a déjà bien compris, qui tente de retirer tous les dollars américains de la Chine.

Ronald Reagan avait utilisé une tactique similaire pour bloquer les revenus en devises de l'Union soviétique, ce qui avait conduit l'URSS à sa perte. Bien incapable de poursuivre le développement de sa technologie, l’URSS a fini par perdre dans la course militaire qui l’opposait aux États-Unis, avant de s’effondre. M. Trump s’efforce à son tour d'arrêter le flux de devises étrangères destinées au marché chinois. En fin de compte, je crois que Trump va geler tous les dollars américains détenus dans les avoirs personnels des familles corrompues du PCC.

Tous les autres pays devraient lui emboîter le pas et couper au plus vite leurs liens avec l'économie chinoise.

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