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Photo du rédacteurThe Liberty web

Confession choquante ! "J'ai prélevé les organes d’un prisonnier qui respirait encore."


Des rumeurs circulent encore, qui affirment que des organes sont prélevés en Chine sur des adeptes de Falun Gong, des Ouïghours et d'autres prisonniers politiques. Nous avons interrogé un ancien chirurgien ouïghour qui a prélevé des organes sur un prisonnier.


Enver Tohti Bughda

Né à Hami (Krum), auTurkestan oriental. Il a travaillé pendant 13 ans comme chirurgien oncologique à l'hôpital central des chemins de fer à Urumqi, dans la région autonome ouïgoure du Xinjiang, où il a fait l'expérience d’un prélèvement d'organes sur un prisonnier. Il a aussi révélé les essais nucléaires de la Chine dans la région de Nopral avec le film documentaire britannique « Mort sur la route de la soie ». Depuis qu’il a élu refuge au Royaume-Uni, il continue de dénoncer à travers le monde les prélèvements d'organes effectués par la Chine.



En tant que chirurgien, j'ai été complice d'une activité criminelle majeure entreprise par le gouvernement chinois, qui consistait à prélever des organes sur un prisonnier. Je préférerais oublier cette expérience, dont le souvenir n’a rien de bon. Elle a été assez choquante.


Cela s'est passé un mercredi de l'été 1995. La veille, le chirurgien en chef m'a appelé à son bureau dans l'après-midi et m'a demandé : « Voulez-vous faire quelque chose qui sorte des sentiers battus ? » En ma qualité de jeune chirurgien, j'ai tout de suite répondu : « Oui, bien sûr ».


Il m’a alors dit: « Filez au bloc pour y rassembler autant d'outils d'opération que possible. Prenez ensuite deux infirmières et deux assistantes avec vous. Une ambulance (camionnette) vous attendra demain vers 9h30 à l'entrée de l'hôpital, alors attendez là. J'ai alors dit : « D'accord ». J'étais plutôt excité.


Le lendemain matin, alors que nous attendions entièrement prêts, les deux chirurgiens en chef sont apparus dans leurs voitures et nous ont dit : « Vous nous suivez ». Nous avons donc commencé à les suivre. Notre groupe se dirigeait vers le Champ d’exécution de la montagne de l’ouest / Western Mountain Execution Ground. Comme son nom l'indique, ce terrain se trouve dans une région montagneuse.


Les deux chirurgiens en chef qui nous attendaient derrière une colline nous ont dit : « Attendez ici et revenez quand vous entendrez des coups de feu. En fait, nous étions affolés, car nous ne savions pas pourquoi nous étions là. Nous nous sommes donc juste assis là à fumer, inquiets de ce qui allait se passer.



Retirer le foie et les reins d'un « corps mort » vivant


Au bout d'un moment, nous avons entendu des cris, le passage de camions, des sifflets, des gens qui scandaient quelque chose, encore et encore, puis des coups de feu.


« Okay allons-y ». Nous avons alors roulé jusqu'à l'entrée du site d'exécution. Là, nous avons découvert plus de dix corps exécutés qui gisaient en contrebas de la montagne. Les corps portaient tous des vêtements de prisonniers et les marques de balles dans la nuque, qui leur avaient arraché le front.


« Regardez, allez tout à droite. Celui-ci est pour vous » nous criait un policier en arme. Il y avait là un cadavre allongé et nos deux chirurgiens en chef attendaient sur place. Ils ont alors ordonné : « Mettez ce corps dans la voiture » ​​et pendant que nos assistants le transportaient, ils m'ont pris à part pour me dire : « Maintenant, faites aussi vite que possible pour lui retirer le foie et les reins ». C’est là que j'ai compris pourquoi nous étions là, un peu soulagé en réalité parce que ce n'était pas très difficile à faire.


Je me suis donc converti en robot effectuant la tâche programmée sans le moindre sentiment. Au moment où j'ai inséré mon scalpel, le sang s’est mis à couler. Ce qui signifiait que son cœur battait toujours. Le prisonnier était toujours en vie !


Ils ont pris les organes et les ont placés dans une boîte en me disant : « Maintenant, vous allez retourner à l'hôpital avec votre équipe, et n'oubliez pas qu'il ne s'est rien passé aujourd'hui ». Depuis ce jour, personne n'en a jamais parlé.


Un mercredi de cet été 1995, le Dr Tohti a prélevé un foie et deux reins sur un prisonnier dans le lit d'un fourgon léger. La victime : un trentenaire aux cheveux longs, avait reçu une balle dans la poitrine droite.



Lavage de cerveau libéré lors de ma rencontre avec la civilisation occidentale


Votre façon de penser a-t-elle changé depuis que vous vous êtes réfugié au Royaume-Uni ?


Je suis né dans une société communiste chinoise où j'ai subi un lavage de cerveau complet. À l’instar des habitants de la Corée du Nord aujourd'hui, je croyais que tout ce que je voyais autour de moi était ce qui pouvait m'arriver de mieux.


Dans l'éducation du Parti communiste chinois, on nous a appris que « tout le monde souffre en dehors de la Chine, et que seul le peuple chinois est heureux », et à cette époque je me considérais aussi comme chinois, du moins c’est ce que je pensais...


Cependant, après avoir quitté la région autonome ouïgoure du Xinjiang, à la rencontre de la civilisation occidentale, j’ai commencé à lire des choses qui n'étaient pas disponibles en Chine. Cette façon de penser s'était effondrée. C’est alors que j'ai pensé : « Oh mon Dieu, ce monde est bien plus grand que ce que j'en ai vu, et il est bien plus libre, plus coloré et plus chaud que ce que j'avais vu jusqu’ici ».


En fait, ma personnalité a complètement changé et une véritable « réforme » s'est opérée en moi. J'ai alors pris conscience que ce qui s'était passé en 1995 ne pourrait jamais trouver de pardon et qu'aujourd'hui, des centaines de millions de personnes en Chine subissaient un lavage de cerveau du simple fait qu'elles n'avaient aucune chance de savoir ce qui se passait dans le reste du monde.


On pense que le gouvernement chinois se prépare au prélèvement d'organes à partir de la compilation des données des résultats des tests sanguins des Ouïghours et des adeptes de Falun Gong entre autres. Pensez-vous qu'il existe vraiment de tels cas de prélèvements d’organes ?


Le problème avec ça, c'est que lorsque les organes sont prélevés, il n'y a pas de survivants. Le prélèvement d'organes signifie qu’une personne mourra, et que nul survivant ne pourra s’exclamer : « Oh, ils ont pris mes organes ».


Lorsqu'ils prélèvent les organes de votre corps, ils n'en prennent pas qu'un. Après avoir prélevé le plus d'organes possible, ils disloquent entièrement votre corps et l’incinèrent, pour que vous n'en trouviez plus aucune trace. Comme toutes les victimes sont décédées, il ne nous reste aucun témoignage direct, ni « aucune victime ».



Même au Japon, des organes pourraient être volés


Si la Chine annexait Hong Kong et Taïwan, pour prendre ensuite le contrôle du Japon, pensez-vous que la même chose pourrait se produire dans ce pays ?


Décidément, cela arrivera. L'année dernière, lorsque les médias de Hong Kong m'ont interviewé, je leur ai dit : « Le Hong Kong d'aujourd'hui est le Xinjiang d'hier. Parce que nous avons été témoins de tout ce qui se passait à Hong Kong.


Prenez garde à ce qui se passe au Xinjiang. Si votre territoire est occupé par le PCC, tout ce que nous avons connu vous arrivera. Vos organes seront prélevés et vos corps brûlés.



Le Japon devrait être suffisamment fort !


De nombreuses guerres ont opposé la Chine et le Japon, mais la Chine n'a jamais vaincu le Japon. Le Japon est sans doute le seul pays à pouvoir donner une leçon à la Chine communiste. C’est pourquoi ce pays doit rester fort.


Dans le cas contraire, vous seriez le prochain pays à souffrir de la misère. Le Japon a le pouvoir, les connaissances et la volonté qu’il faut, vous devez donc rester forts.


L'histoire et l'expérience nous enseignent que le Parti communiste n'évoluera pas sans heurt. Le principe du Parti communiste, c’est la révolution violente : il ne reculera donc pas de lui-même.


La seule façon d'arrêter cette violence, c’est une force militaire plus puissante. C’est malheureusement la loi actuelle du faible et du fort qui prévaut ici. Pour mettre un terme aux prélèvements d'organes et aux autres exactions commises en Chine, la communauté internationale doit se mobiliser pour en éliminer le PCC.


Tous les dirigeants communistes doivent être punis après leur procès. Jusqu’à l'élimination du régime communiste, le monde ne trouvera pas la paix.




Source, Illustrations et commentaires : https://eng.the-liberty.com/2021/8548/

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