Le Président Trump va refaire un carnage

Le virus Covid-19 met Trump dans une situation délicate.
Que fera-t-il pour la préparation de l’élection présidentielle attendue en novembre ?
Il semble que le président Donald Trump rencontre des adversités sur la voie de l'élection présidentielle prévue cet automne.
Il était parvenu jusqu’ici à un accord dans la « guerre tarifaire » avec la Chine dès la fin de l'année dernière et avait fait tuer le commandant iranien Soleimani avec une bombe tirée d’un drone au début de l’année 2020. Ces événements ont recueilli le soutien des citoyens américains, permettant au président de démarrer la course présidentielle avec un fort pourcentage de soutien.
En réponse à la catastrophe du coronavirus apparue si soudainement, M. Trump a fait preuve de réactivité en interdisant le territoire américain aux voyageurs provenant de Chine. La plus grande pandémie du monde a cependant éclaté aux États-Unis peu après, portant un coup sévère à l'économie américaine.
Tandis que le confinement était levé à la fin du mois de mai, la mort de George Floyd a secoué les États-Unis. Son décès a en effet relancé le sujet de la discrimination raciale, faisant passer à la mi-juin les intentions de vote pour Trump loin derrière le score du candidat démocrate et ancien vice-président Joe Biden.
Trump semble confronté à un énorme bouleversement, mais le Monde Spirituel prédit le contraire.
Au cours de la lecture spirituelle que Maître Okawa a effectuée en avril, l'Esprit-Gardien de Peter F. Drucker a fait cette déclaration: « Nous sommes entrés dans une période de crise, et si le Ciel ne nous donne pas un Chef, nous courrons à la catastrophe. Les qualités de gouvernance dont nous avons cruellement besoin sont le « leadership militaire » et le « leadership économique », mais rares sont ceux qui peuvent disposer des deux. Le président Trump est peut-être le seul à remplir ces deux conditions en Amérique. »
Il pourrait bien être le seul dirigeant capable de surmonter cette crise nationale. Regardons du côté de de sa gouvernance en matière d’économie.
On peut mourir du chômage
Aux États-Unis, on recense deux millions de cas de Covid-19, plus de 100 000 décès.
Au milieu de cette situation désespérée, M. Trump a déclaré qu'il ne fermerait pas le pays au cas où une deuxième vague le frapperait, et qu'il avait l'intention de faire progresser la normalisation des activités économiques.
Ses paroles peuvent sembler plus qu’absurdes à ceux qui croient que nous devons tout faire pour limiter le nombre des victimes du Covid-19.
Cependant, les médias traditionnels ne rendent pas compte ici de la véritable intention de M. Trump. L'idée du président, c’est que lorsqu’il s’agit de contrebalancer les décès dus au Covid-19 avec les dommages économiques qui résultent du confinement, la libération de l'économie devrait être une priorité. Dans les dommages économiques entrent des taux de chômage comparables à ceux de la Grande Dépression, un écart de richesse croissant entre riches et pauvres, la déprime et le suicide.
En fait, le taux de chômage a grimpé en flèche pendant le confinement, passant de 3,5% en février à 14,7% en avril.
Cependant, les réponses apportées rapidement par des politiques monétaire et économique appropriées ont fait redescendre le taux de chômage dès le mois de mai. Les investisseurs qui anticipaient une reprise économique rapide ont commencé à réinvestir dans les actions, faisant du même coup remonter le cours des actions.
En outre, de nouveaux efforts ont été déployés afin de prendre les mesures adéquates de prévention des infections. Fin mars, une loi sur la production de la défense nationale a été promulguée pour encourager les entreprises privées à produire plus de fournitures médicales. La production de respirateurs, de masques et de cotons tiges pour la collecte d'échantillons a augmenté du même coup. Le nombre jusqu'alors limité de tests de réaction de polymérisation en chaîne (PCR) est passé à 1,5 million par semaine, le plus élevé du monde. Trois plans de vaccination portés par le gouvernement entrent également dans leurs dernières étapes d’essais cliniques en vue de leur commercialisation dès cet été.