Un virus ouvert à des applications sophistiquées crée une pandémie qui cible les États-Unis, l'Europe et l'Inde en tant qu’ « ennemis hypothétiques ».
Le monde est entré en ébullition avec le COVID-19. Pourtant, malgré la catastrophe en cours, la Chine, à l'origine du virus, continue de cacher ses informations. Dans le même temps, il apparait clairement que la Chine a entamé une guerre virale.
Un an s'est écoulé depuis que l'infection au COVID-19 a été confirmée pour la première fois à Wuhan, en Chine. La vie dans le monde s’est complètement modifiée : on ne sort pas de chez soi sans masque, et un client qui entre dans des magasins ou des restaurants, lorsque ça lui est possible, doit faire mesurer sa température et s’enduire les mains d’une solution hydro alcoolique désinfectante. C’est comme si nous en étions venus à accepter le COVID-19 comme une « catastrophe naturelle », dans l’attente de la stabilisation de cette infection.
Le niveau de menace COVID-19 variable selon les pays reste un mystère
On a enregistré plus de 70 millions de cas de COVID-19 à travers le monde, et nous sommes bien partis pour atteindre 100 millions de cas au rythme actuel (du 12 décembre 2020).
On relève en particulier que le nombre de personnes infectées au Royaume-Uni est d'environ 1,7 millions pour 60 000 morts. En Inde, le nombre de personnes infectées est d'environ 10 millions pour plus de 140 000 morts. Aux États-Unis, où plus de 15 millions de personnes ont été infectées, on déplore environ 300 000 morts, un total qui dépasse le nombre de soldats américains décédés au cours de la Seconde Guerre mondiale.
La question se pose dès lors : pourquoi les dommages causés par le COVID-19 sont-ils si différents entre les États occidentaux, l'Europe et les États-Unis, et plus encore si on les compare à des pays de l’Extrême-Orient comme le Japon ?
Les variations de ce taux de mortalité, d’un pays ou d’une région à l’autre, sont désignées par le « facteur X » et des experts de ce domaine ont tenté de lui trouver toutes sortes d’explications. Certains avancent « le caractère unique des structures génétiques japonaises » ou « une sensibilisation différente aux questions d'hygiène », mais aucun ne rassemble suffisamment de preuves.
Une perspective qui nous permettrait de résoudre ce mystère est l'idée que la Chine a créé le coronavirus en tant qu'arme biologique et l'a propagé dans le monde entier.
Tableau comparatif du nombre de morts entrainées par le coronavirus et les autres crises majeures traversées par les États-Unis. Source : Université Johns Hopkins, au 12/12/2020.
Maître Ryuho Okawa, président-fondateur de Happy Science, a effectué un large éventail de lectures spirituelles, avant d’évoquer cette possibilité que le COVID-19 soit en fait l’aboutissement d’une arme biologique. Maître Okawa n’a eu de cesse de déclarer : « nous devons avoir conscience que la Chine a entamé une guerre mondiale au moyen de ce coronavirus ».
Nous soutiendrons ce point de vue par la suite, mais si le COVID-19 est bien une arme biologique, il reste prudent d'affirmer par ailleurs que la Chine est une « nation fondée sur des crimes de guerre », qui ont déjà tué un nombre incalculable d'innocents à travers le monde.
Les virus peuvent être créés artificiellement
Il est généralement admis que le COVID-19 tire son origine d’une transmission naturelle du virus, depuis que des habitants de Wuhan auraient consommé des chauves-souris vendues sur le marché local des fruits de mer. Cependant, si l’on analyse les faits de cette année avec méthode, la théorie selon laquelle « le COVID-19 était un virus d'origine naturelle » est en soi contre nature.
Tout d'abord, il n'existe pas une culture de la consommation des chauves-souris à Wuhan et la Chine n'a pas encore divulgué ses informations sur le tout premier cas de COVID-19. À deux pas du marché des fruits de mer qui aurait provoqué cette épidémie massive, l’existence de l'Institut de virologie de Wuhan, académie chinoise des sciences, est en revanche reconnue notamment pour sa gestion des virus les plus meurtriers.
La « théorie des armes biologiques » est dès lors préconisée sur la base de preuves fournies par les circonstances, mais de nombreux médias et chercheurs soutiennent au contraire la théorie de l’apparition naturelle du COVID-19. Certains croient même que l’on ne peut fabriquer des virus.
En septembre 2020, cependant, le Dr. Li-Meng Yan, virologue chinois originaire du Shandong, a présenté un article expliquant comment le COVID-19 avait été fabriqué artificiellement dans un institut de recherche chinois. Certains chercheurs l’ont critiquée pour la présentation peu avenante du document ou à cause de leur difficulté à comprendre l’intention de créer un nouveau virus.
Dans le même temps, ils reconnaissent toutefois la possibilité que ce COVID-19 ait été fabriqué sur la base d’une synthèse artificielle, comme l’avait indiqué le Dr. Yan dans son article.
Il n'est pas rare que des virus soient créés artificiellement. Au Japon, la recherche a mis au point une technologie de synthèse d'un virus grippal.
En outre, plusieurs chercheurs ont souligné qu’un virus qui combinerait le virus du SRAS à une séquence ADN du VIH, verrait son pouvoir infectieux augmenter considérablement.
Le Dr. Yan a pu retracer l’épidémie du coronavirus à l’Université de médecine de l’armée populaire de libération « APL », ainsi qu’à l’Institut de recherche en médecine du commandement de Nanjing dans la région militaire de Nankin.
Affirmer que « la Chine ne développerait pas une arme biologique », du fait que la nature humaine est fondamentalement bonne, empêche de trouver la vérité qui se masque derrière le COVID-19.
Source : http://eng.the-liberty.com/2020/8142/
Comments