Une révolution en 2016 et ce qui s’ensuit…

Donald Trump, Tsai Ing-wen, Rodrigo Duterte. . . Qui sera le prochain ?
D’après les sondages présentés par l’institut Gallup, la confiance du public américain à l’égard de ses médias a chuté à 32 %, son niveau le plus bas depuis l’instauration des sondages en 1972. Le fait même que les partisans de Trump soient restés indifférents aux injonctions d’une presse en faveur de Clinton, tout au long des élections présidentielles, en constitue une preuve supplémentaire.
Mais qu’attendent les Américains de Trump ? Non seulement les républicains ont gagné les élections présidentielles, ils ont aussi emporté la majorité au Sénat et au Parlement. Le peuple a jugé par leur intermédiaire l'administration démocrate d’Obama.
S’opposer à la tendance socialiste
L'administration Obama a formé une grande administration du gouvernement, qui taxait les plus riches pour redistribuer aux plus pauvres.
Le plan de réforme de la santé de Barack Obama Obamacare a contraint l’ensemble des citoyens américains à souscrire une assurance médicale, pour subventionner les plus faibles revenus. Les dépenses publiques associées à l’Obamacare devraient s'élever à 1,1 milliard de dollars en 10 ans. Les résultats de ces élections sont la preuve intangible que ces citoyens ont dit «NON» à cette dérive socialiste de leur gouvernement.
La politique financière menée par Trump est radicalement opposée : il envisage d'abaisser le taux d'imposition des sociétés de 35% à 15%, et de réduire de même l'impôt sur le revenu des particuliers.
Les États-Unis ont conquis leur indépendance au 18ème siècle, alors que son peuple était las des lourds impôts qui lui étaient imposés par la Grande-Bretagne. Ils ont choisi d’assurer leur propre prospérité. En un sens, lorsque Trump rêve d’une « Amérique qui retrouve sa splendeur d’avant », il exprime cette intention révolutionnaire, tel un reflet de l'esprit retrouvé de la Révolution américaine.
Mieux que les Reaganomics
La plus grande tâche qui attend Trump au cours des 4 ou 8 ans qu’il passera dans le bureau ovale consiste à s'assurer que la Chine ne s’emparera pas du pouvoir détenu actuellement par les États-Unis.
Le Parti communiste, incarnation vivante du matérialisme, interdit au peuple chinois la liberté de religion et d'opinion à l'intérieur des frontières de la Chine. Si ce pays devenait la puissance dominante du monde, cette oppression se propagerait au monde entier.
L'idéologie de « l'Amérique d'abord », telle que l’a portée Trump, est une tâche douloureuse pour certains, souvent accusée d'isolationnisme. Mais l’objectif fixé par Trump, qui consiste à rendre sa splendeur à l'Amérique, nous indique clairement qu'il veut reconstruire les États-Unis de manière à ce qu’ils redeviennent le gendarme du monde.
Cela se voit aussi à travers la politique financière audacieuse menée par Trump : il prévoit de créer des emplois pour 25 millions de personnes au cours des 10 prochaines années, en commençant par 1 milliard de dollars consacrés à des investissements dans des travaux d’infrastructures tels que monorails « maglevs », aéroports et chemins de fer.
En outre, Trump rapatriera les usines de sociétés américaines actuellement délocalisées en Chine et dans le reste du monde, afin de relancer l'industrie manufacturière dans son pays d’origine. Les impôts sur les sociétés et les impôts sur le revenu seront abaissés à cet effet et les taxes de successions seront supprimées.
Les marchés commencent à comprendre à quel point l'impact attendu de la politique financière menée par Trump devrait dépasser celui des Reaganomics dans les années 1980. C’est ainsi que les actions voient leur cours remonter.
L'Amérique retrouvera-t-elle sa splendeur ?
Une étape vitale, pour passer de « l'Amérique d'abord » à une « grande Amérique » tient à la reconquête de son armée.
Trump a annoncé son projet de faire passer le cœur de la flotte américaine de 270 à 350 navires. Cela ressemble fort à l'expansion maritime conduite par Reagan en réaction à l'URSS du temps de la Guerre froide.
Bien qu’il puisse sembler difficile de s’en convaincre, après avoir vu les batailles menées par Trump au cours des élections, il a vraiment ce qu’il faut pour rendre aux États-Unis une splendeur plus grande que sous le mandat de Reagan.
Le Ciel nous fait grâce d’un héraut de la révolution
Dans la conférence « Vers un monde auquel nous pouvons croire » qu’il donnait en décembre 2015, Maître Ryuho Okawa, fondateur de Happy Science, déclarait que 2016 serait l'Année de la Révoluti