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Du premier au prochain président des États-Unis : Le message spirituel de George Washington


Le 22 Septembre 2016 Ryuho Okawa, président-fondateur de Happy Science, conduisait un entretien spirituel avec l'Esprit de George Washington, le premier président des États-Unis. Maître Okawa a mené cette conversation avec l'aide de Yuta Okawa et d’autres questionneurs de Happy Science. L'essentiel de l'entrevue avec Washington portait sur ce qu’il considérait comme « le problème actuel le plus important de son point de vue en tant qu’Esprit-Gardien ? » Sa réponse fut simple et directe : « mais bien sûr, la présidence américaine ».

Les « Messages spirituels » sont un échange au cours duquel les mots d'un Esprit particulier du Royaume des Esprits sont canalisés ici-bas. Cette possibilité appartient à ceux qui disposent d’un niveau d’Éveil suffisamment élevé, différent du « phénomène psychique » par lequel on abandonne sa conscience pour entrer en transe, laissant la parole à l'Esprit seul.

Chacun de nous est guidé par des Esprits-Gardiens qui résident au plus profond de notre subconscient. Ils font partie de notre âme, et représentent le reflet aussi exact que fidèle de nos pensées et de notre philosophie.

Nous avons été inondés d’extraits sonores, de discours, d’interviews et d’une pléthore d'informations des deux candidats sur leur vision de l'Amérique, leurs objectifs, leurs convictions personnelles et politiques. Nous présentons à travers cet entretien l’image de l'homme que fut George Washington, et ce qui fait de lui le plus grand leader des États-Unis, où les historiens le connaissent comme le « Père de la Patrie ».

George Washington était le commandant en chef de l'armée continentale à l'époque de la guerre d’indépendance américaine. Ses qualités de leader aidèrent l'Amérique à conquérir sa liberté. Homme de morale et de principes en toutes circonstances, il démissionna de son poste de commandant en chef de l'armée en 1787, plutôt que de prendre le pouvoir, prouvant du même coup son aversion pour la dictature. Il fut élu président en 1789. Parmi ses premières initiatives on relève ce programme qui visait à éteindre toutes les dettes, d’origine étatique ou fédérale, et à mettre en œuvre un système d'imposition efficace.

Il n’était pas affilié à un parti politique, et s’élevait contre leur formation, voire les maux qu’ils pouvaient provoquer, inquiet de luttes intestines qui ne manqueraient pas de freiner le progrès et de miner le gouvernement.

Il mit en garde contre toute forme d’influence étrangère dans les affaires intérieures, ou d’ « alliance permanente avec toute partie du reste du monde », certain que les États-Unis devaient se concentrer sur leurs intérêts propres. Il croyait en la primauté du droit, et s’opposait à toute partisannerie. Dans le Discours Final qu’il adressa à la nation, à la fin de son mandat de président, il déclara que « La Raison et l'Expérience nous interdisent toutes deux de penser que la moralité nationale puisse prévaloir sur l'exclusion du principe religieux » (Bibliothèque du Congrès). Il croyait à la liberté religieuse, affirmant « ne pas être un bigot lui-même, tous cultes confondus » (« George Washington et la Religion »,

Université Méthodiste du Sud, Dallas 1963). Il a également été suggéré par Jane Novak que « Washington avait cette intention de maintenir une ambiguïté calculée (en même temps que sa vie privée) pour ce qui concernait ses convictions religieuses les plus profondes. Il voulait ainsi permettre à tous les Américains, aussi bien à son époque que pour les temps à venir, de se sentir libres de l'approcher dans leurs propres conditions... sur un pied d'égalité avec tous les autres » (M. et J. Novak, Dieu selon Washington : la Religion, la Liberté et le Père de notre pays, Basic Books, 2007). Il fit également preuve d'intégrité, de discipline, de courage, d'une honnêteté et d’une détermination absolues.

Au cours d'une présentation faite le 22 février 2000 au Club George Washington de Wilmington, Delaware, le révérend Richard C. Stazesky s’autorisa à parler de Washington comme d’un homme aisé, ce qu’il présentait comme un avantage, parce que moins soumis à la tentation de la corruption.

Il estimait par ailleurs que Washington avait vécu et collaboré avec les meilleurs esprits de son temps, à la recherche de l’influence de penseurs bien mieux éduqués que lui. La plupart de ses idées lui venaient des autres, mais il ne dépendait pas d’eux. Il se montra un chef intelligent et astucieux sur le plan intellectuel. Il était également marqué par son cursus très cosmopolite, son ambition et une réputation bien méritée de patriote. Son style charismatique et son énergie répandait sa vision chez les autres, conférant à toute une nation le pouvoir d’aller de l'avant. Il était d’après Stazesky « un caméléon politique prêt à changer de couleurs pour se conformer aux intérêts et aux idées de ses brillants conseillers ». Le Révérend Stazesky déclarait encore « qu’il avait envisagé que sa nation contribuerait à l'élévation et au bonheur du monde entier au cours des années, voire des siècles à venir », ajoutant que « cette perspective prenait désormais forme, tandis qu’un nombre toujours plus grand de nations de ce monde devenaient des démocraties ». Washington était un conservateur qui croyait à la primauté du droit. Il édifia un gouvernement qui serait approuvé par ses citoyens. Un autre facteur intéressant qui expliqua le succès de Washington fut sa dépendance à la contribution portée par sa famille et ses amis. Et, en bon candidat républicain, il avait un tempérament « volcanique », qu’il dut apprendre à contrôler pour diriger avec plus d’efficacité.

Fait intéressant, l'Esprit du Président Washington évoque dans son message spirituel